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Moyens d'action

Pour réaliser ses objectifs, la Fondation Ethique Familiale a mis sur pied, dans un premier temps, un centre de consultations médico-psychologiques de type interdisciplinaire (« la CIMI » ou Centre de Consultations Interdisciplinaires de la Maltraitance Intrafamiliale).

Ce centre a le statut d'un établissement sanitaire (reconnu en tant que tel par le Service de Santé Publique du canton de Vaud depuis le 1er janvier 2003). Il est dirigé par un médecin psychiatre spécialiste en thérapie de famille (Dr Gérard Salem), qui en est le directeur, et dont le directeur adjoint est un pédiatre, également spécialiste en thérapie de famille (Dr Nahum Frenck). Un autre médecin cadre (Dr Jean-Claude Métraux), spécialiste en pédopsychiatrie, thérapie de famille et thérapies interculturelles, est adjoint à ces deux premiers médecins, pour les seconder dans leur tâche. Tous trois bénéficient d'une large expérience en maltraitance intrafamiliale. Une psychologue clinicienne spécialisée en thérapie de famille (Mme Francine Ferguson) assure l'encadrement quotidien de l'équipe, sur le plan clinique et sur le plan administratif. Enfin, un médecin généraliste (Dr Klaus Hilscher), spécialiste en hypnothérapie et troubles psychosomatiques, a rejoint l’équipe des cadres.

Par ailleurs, un médecin chef de clinique, deux médecins-assistants, cinq psychologues clinicien(ne)s, cinq psychologues stagiaires, un éducateur, une art-thérapeute, une visiteuse à domicile, deux secrétaires et une comptable travaillent dans ce centre sous la supervision des cinq cadres précités.

Le Conseil de Fondation se réunit trois à quatre fois par année. Il s'assure de l'exécution adéquate des objectifs de la Fondation, de la bonne marche de la CIMI et de la tenue du budget.

La Fondation a mis en place un partenariat régulier avec un conseil pluridisciplinaire périphérique, comptant des médecins de diverses spécialités (psychiatrie, pédopsychiatrie, gériatrie, pédiatrie, gynécologie-obstétrique, médecine interne, médecine générale, médecine légale), des psychologues, des juristes, des éthiciens, des socio-éducateurs, des médiateurs scolaires, et d'autres spécialistes confrontés à la maltraitance. Ces partenaires sont contactés selon les besoins, pour assurer des supervisions, compléter une évaluation, donner un avis de spécialiste, ou prodiguer un suivi demandé par la CIMI (et en collaboration avec elle) dans leur propre contexte professionnel, institutionnel ou privé.

Par ailleurs, la CIMI entretient une collaboration régulière avec les autres institutions officielles compétentes en matière de violence et de maltraitance intrafamiliale et en matière d'abus de substances (services médicaux ambulatoires et hospitaliers, services sociaux, structures éducatives, homes d'accueil, services juridiques et policiers, counselings spécialisés, etc.). Elle est disponible pour assurer, à la demande de ces institutions, tantôt des expertises, tantôt des suivis thérapeutiques, en respectant les principes du travail de réseau.

Enfin, la Fondation confie à divers chercheurs et collaborateurs de la CIMI le soin de mener des recherches scientifiques sur le fonctionnement des familles maltraitantes, leurs constellations types, leurs formes cliniques, la corrélation de leurs troubles avec les abus de substances, leurs ressources potentielles, leur accessibilité au changement. Trois chercheurs sont chargés d'évaluer sur deux ans le fonctionnement de la CIMI (efficacité, indice de satisfaction, limites et atouts, progrès à accomplir, etc.).

La Fondation a mis aussi sur pied un enseignement régulier sur ces sujets de recherche et sur la famille maltraitante en général, destiné à tous les professionnels de terrain concernés par la maltraitance, de même que quelques programmes psycho-éducationnels particuliers pour les familles (groupes femmes, groupes hommes, groupes adolescents et éducation par les pairs, groupes enfants, groupes aînés, etc.). Ces recherches et cet enseignement sont partiellement réalisés en collaboration avec les services universitaires des facultés de médecine, de psychologie et de droit.

Des publications périodiques rendent compte des travaux de la CIMI, de ses recherches et de son enseignement. Une partie de ces publications est également réservée à un plus large public. Enfin, le site Internet de la Fondation reflète également l'essentiel de ces recherches et de ces enseignements. La gazette électronique publiée sur le site de la fondation donnera un aperçu des travaux et observations de la CIMI au rythme de deux à trois fois par année.

En décembre 2007, une subvention est accordée à la CIMI par le CHUV (DSAS) et par le SPJ (DFJC) pour l’aider dans ses difficultés financières. Par ailleurs, ces deux départements invitent la Fondation Ethique Familiale à les aider dans la création d’une structure similaire à la CIMI, mais de type étatique.

17.12.2007

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